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Plusieurs d'entre nous ont toujours ce désir d'apprendre de nouvelles choses afin d'enrichir leur savoir. Que ce soit pour parfaire une culture personnelle, pour des raisons professionnelles ou encore éducatives. On peut aussi avoir le désir de rafraîchir certaines notions qu'on a déjà apprises mais oubliées avec le temps. Par exemple, en faisant un retour plusieurs années plus tard sur des matières qu'on a aimées à l'école, et peut-être même sur celles qu'on a détestées!

Quoiqu'il en soit, ce site vous propose des contenus sur différents sujets de culture générale. Je me présente, Claude Mallette, retraité dans le domaine de l'informatique. Je suis toujours animé par cette soif d'étendre mon champ de connaissances et j'aimerais en partager le fruit avec vous. J'ai une préférence pour tout ce qui concerne la science mais j'ai aussi un intérêt pour d'autres domaines comme, par exemple, l'histoire.

Les sujets dans ce site sont présentés sous forme d'articles et de tableaux regroupés par catégories. Le tout est présenté dans un style condensé qui permet de prendre connaissance de plusieurs faits dans un même contenu. Pour emprunter une formule souvent entendue, ici on essaie de « faire plus avec moins »!

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Révolution française
Révolution française
LA MONARCHIE EN FRANCE 9 novembre 1799 - 24 juin 1812 : RÈGNE DE NAPOLÉON ET MONTÉE EN PUISSANCE DE L'EMPIRE FRANÇAIS
LA MONARCHIE EN FRANCE 9 novembre 1799 - 24 juin 1812 : RÈGNE DE NAPOLÉON ET MONTÉE EN PUISSANCE DE L'EMPIRE FRANÇAIS
9 nov. 1799
9 nov. 1799
Consulat
Consulat
Premier Empire
Premier Empire





Sous le premier Empire dirigé par Napoléon, la France exercera une domination dans presque toute l'Europe et bouleversera l'échiquier géopolitique sur le continent. L'empire français connaîtra ainsi son apogée jusqu'à la campagne désastreuse de Russie de 1812 avant de connaître son démembrement en 1814. La période du premier Empire se déroule dans un contexte quasi ininterrompu de guerres face à une succession de coalitions contre la France comprenant principalement à chaque fois au moins une des autres puissances européennes : l'Autriche, la Prusse ou la Russie. Le Royaume-Uni est continuellement en état de guerre contre la France durant cette période.

Lors du début du premier Empire, le Royaume-Uni obtient l'adhésion de la Russie, de l'Autriche et la Suède pour former la troisième coalition. La France, de son côté, s'assure notamment du soutien de l'Espagne. Par ailleurs, comme ce sera le cas pour toutes les guerres durant le premier Empire, les États satellites de la France, comme le royaume d'Italie établi en mars 1805 en succession à la République italienne, se joindront implicitement à celle-ci pour prendre part aux hostilités. La guerre contre la troisième coalition se déroule sur deux théâtres d'opération. D'abord sur le plan naval, la flotte franco-espagnole, sous les ordres du vice-amiral Pierre de Villeneuve, subit une cinglante défaite à Trafalgar le 21 octobre 1805 contre la marine britannique dirigée par l'amiral Nelson, qui est mortellement blessé durant l'affrontement. Ayant perdu la confiance de Napoléon, Villeneuve mourra poignardé quelque temps après le 18 avril 1806. L'enquête policière qui suivra concluera au suicide.

Sur le continent, la guerre se déroule avec la campagne d'Allemagne lors de laquelle Napoléon défait l'Autriche à Ulm le 20 octobre 1805. Le 2 décembre 1805, il remporte une éclatante victoire à Austerlitz sur les armées autrichienne et russe qui met fin à la guerre. La Russie retire ses soldats en Pologne et l'Autriche, grande perdante du conflit, est contrainte de signer le 26 décembre 1805 le traité de Presbourg (aujourd'hui Bratislava). Celui-ci, qui met fin à l'existence du Saint-Empire, force l'Autriche à se départir de tous les territoires qui en faisaient partie. Napoléon prendra ceux-ci pour en faire des États satellites de la France et ainsi former en juillet 1806 la Confédération du Rhin. L'Autriche doit également céder ses possessions italiennes au nord de l'Italie au profit du royaume d'Italie.

Alors que la guerre contre la troisième coalition est terminée, Napoléon poursuit tout de même son expansion en s'emparant le 14 février 1806 du royaume de Naples dont il ne reste plus que la Sicile après l'offensive. Au début d'octobre 1806, la Prusse, qui n'accepte pas la création de la Confédération du Rhin, forme avec la Russie une quatrième coalition contre Napoléon. Le 14 octobre 1806, Napoléon défait sans difficulté les Prussiens lors de la bataille d'Iéna, et Louis-Nicolas Davout, un de ses maréchaux, remporte lui aussi une victoire la même journée à Auerstadt. Napoléon fait ensuite son entrée avec son armée à Berlin en détruisant facilement en chemin les positions militaires prussiennes.

En novembre 1806, Napoléon se dirige vers la Pologne pour y stationner ses troupes durant une partie de l'hiver avant de livrer bataille le 8 février 1807 contre les Russes à Eylau, en Prusse-Orientale (l'actuel oblast de Kaliningrad), et y remporter une victoire coûteuse et plutôt incertaine.  En mars 1807 sur ordre de Napoléon, le maréchal Lefebvre procède au siège de Dantzig et réussit à prendre la ville après deux mois. 


Sous le premier Empire dirigé par Napoléon, la France exer...

Le 10 juin 1807, Napoléon défait les troupes russes dirigées par le général Bennigsen à Heilsberg. Lorsque les Russes retraitent, il les rattrape et les vainc encore le 14 juin 1807, cette fois-ci de façon décisive, à la bataille de Friedland, ce qui met un terme à la guerre contre la quatrième coalition.

Napoléon conclut les 7 et 9 juillet 1807 les deux traités de Tilsit qui intègrent la Prusse et la Russie à un blocus continental qu'il veut établir contre les Britanniques. Avec le premier traité, la Russie devient un allié de la France contre le Royaume-Uni tandis qu'avec le second, la Prusse est amputée d'importants territoires qui mènent à la création de nouveaux États satellites de la France  : le duché de Varsovie, la république de Dantzig et le royaume de Westphalie.

En novembre 1807, Napoléon entame son incursion dans la péninsule ibérique en envoyant au Portugal une armée menée par le général Jean-Andoche Junot afin de forcer le pays, qui est allié au Royaume-Uni, à appliquer le blocus continental. Il ne se doute pas encore que l'entreprise n'est que le début d'un conflit qui s'étendra sur plusieurs années et qui ne lui procurera ultimement aucun gain. Il s'immisce quelques mois plus tard dans les affaires de l'Espagne en y envoyant d'autres troupes dirigées par le maréchal Joachim Murat, son beau-frère.

La présence française en Espagne est très mal accueillie par la population de la capitale Madrid. Celle-ci se soulève le 2 mai 1808 mais l'insurection est réprimée dans le sang par les troupes françaises; d'autres émeutes éclatent aussi à travers tout le pays. Suite à une mésentente au sein de la monarchie espagnole régnante, Napoléon prend le contrôle de l'Espagne et désigne son frère Joseph au titre de roi du pays en remplacement de Ferdinand VII, qu'il a fait prisonnier à Bayonne.

Le 18 juillet 1808, le général Pierre Dupont est défait à Bailén par une partie de l'armée espagnole qui est restée fidèle à l'ancienne monarchie. Au Portugal, l'invasion dirigée par Junot prend fin avec une défaite le 21 août 1808 lors la bataille de Vimeiro, face à l'armée britannique stationnée dans le pays menée par le général Arthur Wellesley (le futur duc de Wellington). 

À la suite des insuccès de l'armée française en Espagne, Napoléon décide de se rendre lui-même dans le pays et diriger des offensives qui permettent de remporter des victoires à la fin de 1808 et au début de 1809; la partie nord de l'Espagne jusqu'à Madrid est alors sous occupation française.

Durant l'absence de Napoléon, Talleyrand et Fouché, qui sont sans nouvelles de lui, évoquent une régence par l'impératrice Joséphine et un scénario pour désigner Murat comme successeur de Napoléon s'il venait à mourir. Lorsqu'il est mis au courant de ces discussions, Napoléon quitte précipitamment l'Espagne pour regagner la France à la fin janvier 1809. Visé en particulier par un Napoléon se sentant trahi, Talleyrand est tancé sévèrement pour cette intrigue et verra son influence diminuée. Les répercussions restent toutefois limitées pour les initiateurs de l'affaire mais celle-ci jettera un froid dans leur relation avec Napoléon; le lien entre l'empereur et Murat va aussi se détériorer. 

Malgré les récents succès en Espagne, le conflit qui y règne reste entier et l'armée française doit, en plus d'avoir à combattre les armées britannique et espagnole, composer avec des guérillas locales qui harcèlent continuellement ses troupes.

Le 10 juin 1807, Napoléon défait les troupes russes dirigé...
18 mai 1804
18 mai 1804
Consulat
(du 9 novembre 1799 au 18 mai 1804)
Consulat...
Premier Empire
(du 18 mai 1804 au 6 avril 1814)
Premier Empire...
1805
1805
1800
1800

Suite au coup d'État du 18 brumaire, le Consulat prend d'abord une forme provisoire dirigée par Bonaparte, Siéyès et Ducos en préparation de la Constitution de l'an VIII, laquelle renforcera les pouvoirs de l'exécutif et surtout, et essentiellement, ceux de Bonaparte. Le Consulat proprement dit entre en vigueur le 1ʳ janvier 1800 avec à sa tête Bonaparte comme premier consul. Celui-ci est assisté de deux autres consuls, Jean-Jacques-Régis de Cambacérès et Charles-François Lebrun qui agissent en tant que conseillers. Toutefois, le véritable homme de confiance pour seconder Bonaparte à ce moment-là est  Talleyrand, alors ministre des Relations extérieures. Le Consulat comporte trois assemblées pour la préparation et le vote sur les projets de loi : le Conseil d'État, le Corps législatif et le Tribunat. Le Sénat conservateur, dont le rôle est de veiller au maintien de la Constitution et de l'amender au besoin, complète la composition du Consulat.

Au début du Consulat, Bonaparte s'emploie à enrayer les contestations des principaux groupes qui s'opposent à son accession au pouvoir suite au coup d'État du 18 brumaire, c'est-à-dire les jacobins et les royalistes. Il met ainsi en place un régime autoritaire qui restreint les libertés d'expression, notamment en faisant fermer des journaux. Il limite également la liberté de circulation avec l'aide d'une structure policière dirigée par son ministre de la police Joseph Fouché. Il réussit à échapper à un attentat le 24 décembre 1800, rue Saint-Nicaise.

Malgré les tensions, une relative accalmie s'installe tout de même à l'intérieur du pays durant le Consulat. Bonaparte procède à la réconciliation nationale en invitant le clergé et les émigrés à rentrer au pays. Par  la signature du Concordat de 1801, il proclame le catholicisme en tant que la « religion de la majorité des Français » — et non la religion de l'État — tout en autorisant la liberté de culte. Ce traité permet à Bonaparte de désigner les évêques de son choix et au pape de leur donner l'investiture canonique. L'autorité du pape sur l'Église de France, et non sur l'État, y est également reconnue.

Bonaparte réorganise l'État dans plusieurs domaines. En éducation, il introduit les lycées au niveau secondaire. Il crée la Légion d'honneur récompensant les citoyens les plus méritants, peu importe leur statut social. Il établit le Code civil, lequel préserve les gains faits durant Révolution tout en faisant des compromis avec la notion d'autorité. Le Code civil reconnaît aussi le droit de propriété et confirme la primauté du père dans la cellule familiale, ce qui signifie aussi sur l'épouse.

Du côté militaire, la guerre contre la deuxième coalition est toujours en cours. Le 14 juin 1800, Bonaparte vainc les Autrichiens à Marengo, lors d'une nouvelle campagne en Italie, et à Hohenlinden, en Suisse, le 3 décembre. Son triomphe conduit au traité de Lunéville, signé le 9 février 1801, par lequel l'Autriche renonce au nord et au centre de l'Italie, permettant à Bonaparte de reprendre la République cisalpine. Celle-ci deviendra au début de 1802 la République italienne bien qu'elle ne couvre qu'une partie de la péninsule italienne.

Suite au coup d'État du 18 brumaire, le Consulat p...
An IX
An IX
An X
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An XI
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An XIII
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An XII
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1801
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1803
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1809
1809

La paix entre la France et le Royaume-Uni issu de l'union en 1801 entre les royaumes de Grande-Bretagne et d'Irlande se concrétise en 1802 avec le traité d'Amiens et met ainsi fin à la guerre contre la deuxième coalition. Le Royaume-Uni restitue ainsi à la France les possessions qu'il lui a prises durant la guerre (Martinique, Tobago et Sainte-Lucie) et doit permettre le retour en France des soldats isolés en Égypte qui avaient accompagné Bonaparte lors de la campagne débutée en 1798. Le Royaume-Uni doit également se retirer de Malte. 

Bonaparte jouit alors d'une très grande popularité au pays, et est nommé consul à vie le 2 août 1802 suite au résultat d'un plébiscite qui lui est très favorable. La paix avec le reste de l'Europe demeure cependant précaire. Bonaparte, même en temps de paix, poursuit sa politique expansionniste, notamment en Italie, et pose des obstacles sur le plan commercial au Royaume-Uni. D'autre part, le Royaume-Uni refuse de se retirer de Malte conformément au traité d'Amiens, un nouveau conflit est imminent. Pour financer l'effort militaire à venir, Bonaparte procède le 30 avril 1803 à la vente de la Louisiane (achetée en secret de l'Espagne par le traité d'Ildefonso en 1800). Napoléon se fera vivement reprocher cette décision par ses frères Joseph et Lucien. La guerre éclate  finalement en mai 1803 entre la France et le Royaume-Uni.

Toujours en 1803, une nouvelle conspiration est organisée par le général français exilé Georges Cadoudal, qui s'était réfugié en Angleterre suite à l'affaire de l'attentat de la rue Saint-Nicaise en 1800. Son but est de renverser Bonaparte et ramener éventuellement la royauté, mais l'opération échoue. Durant l'enquête, la police secrète enlève et arrête le 15 mars 1804 le duc d'Enghien, Louis Antoine de Bourbon-Condé, émigré royaliste établi dans la principauté de Bade. Après un procès sommaire, le duc est reconnu coupable d'avoir participé au complot et est fusillé le 21 mars; le verdict rendu fait encore aujourd'hui l'objet de débats.

L'échec du complot de Cadoudal et la condamnation du duc d'Enghien donnent l'occasion à Bonaparte de faire la promotion d'un régime politique durable  afin d'écarter toute possibilité de retour à la monarchie telle qu'elle était connue sous l'Ancien Régime. Le 18 mai 1804 le Sénat prend ainsi la décision, par sénatus-consulte, de mettre en place la Constitution de l'an XII instaurant un gouvernement impérial héréditaire dirigé par Bonaparte. La décision du Sénat est approuvée  par plébiscite avec une écrasante majorité. Le 2 décembre 1804 à Notre-Dame de Paris, Napoléon Bonaparte est sacré empereur des Français et devient Napoléon Iʳ.

 

La paix entre la France et le Royaume-Uni issu...

Par ailleurs, une deuxième tentative d'invasion du Portugal dirigée par le maréchal Jean-de-Dieu Soult est effectuée en février 1809 mais l'initiative s'avère tout aussi infructueuse que la première. L'armée de Soult, affaiblie par les multiples combats et les maladies, est chassée du pays  en mai 1809 par les troupes de Wellesley.

Durant la même période, Napoléon décide d'annexer les États pontificaux à la France suite au refus du pape Pie VII d'appliquer le blocus continental. Ce dernier sera enlevé le 6 juillet par des hommes envoyés par Napoléon et mis en détention à Savone (Ligurie). En 1812, le pape sera transféré à Fontainebleau puis sera finalement libéré en janvier 1814.

En avril 1809, l'Autriche, qui a bien pris note des défaites de l'armée française à Bailén et au Portugal et constaté qu'elle peut être vulnérable, veut venger son humiliation de 1805. Avec le soutien du Royaume-Uni, elle forme la cinquième coalition et entre en guerre contre la France dans un conflit qui dure quelques mois et qui entraîne des pertes énormes des deux côtés. Napoléon subit ainsi contre l'armée autrichienne dirigée par l'archiduc Charles une défaite importante lors de la bataille d'Aspern-Essling les 16 et 17 mai 1809, laquelle coûte la vie à un de ses maréchaux les plus importants, Jean Lannes. Napoléon prend toutefois sa revanche les 5 et 6 juillet 1809 lors de la bataille de Wagram avec une victoire décisive qui met fin à la guerre.

Il impose à l'Autriche le 14 octobre 1809 le traité de Schönbrunn qui ampute celle-ci de territoires comme le Tyrol et la Galicie, qui seront répartis entre la France, la Bavière, le duché de Varsovie et la Russie. L'accord sera suivi au printemps 1810 du mariage entre Napoléon et la fille de l'empereur autrichien François Iʳ, Marie-Louise, ce qui permettra du même coup d'atténuer pour un certain temps les tensions entre la France et l'Autriche. Ayant divorcé de Joséphine de Beauharnais en décembre 1809 en raison de l'impossibilité d'avoir un enfant avec elle, Napoléon était à la recherche d'une nouvelle épouse qui pourrait lui donner un fils.

L'Europe connaîtra après la défaite de l'Autriche en 1809 une certaine accalmie jusqu'à l'invasion de la Russie de 1812. L'Espagne reste toutefois une exception et le conflit s'y poursuit et ne donne aucun signe d'apaisement à court terme. Les troupes françaises dirigées par Soult réussissent tout de même dans la deuxième demie de 1809 à s'avancer lentement jusqu'en Andalousie et s'emparent facilement en janvier 1810 de Séville et Cordoue. Par la suite, elles débutent le long siège de Cadix, ville fortifiée où est réfugié un gouvernement espagnol de résistance.

En juillet 1810, Napoléon envoie le maréchal André Masséna vers le Portugal pour y faire une troisième tentative d'invasion. Encore une fois, l'exercice résulte en un échec. À bout de ressources, l'armée de  Masséna bat en retraite en mars 1811 lorsqu'elle se butte aux lignes de Torres Vedras construites sous le commandement de Wellesley. En janvier 1812, le général français Louis Suchet parvient à prendre Valence après un siège de deux semaines. Les mois suivants, Wellesley avance son armée vers Madrid.

Au printemps de 1812, la domination de l'empire français sur l'Europe, sauf en Espagne, est à son apogée.

Par ailleurs, une deuxième tentative d'invasion du Portuga...
An VIII
An VIII
11 nivôse an XIV
(1ʳ janvier 1806)
Abandon du calendrier républicain
11 nivôse an XIV...


1802
1802
1806
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1807
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1808
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1810
1810
1811
1811
1812
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Napoléon Iʳ
(1769 - 1821)
Napoléon Iᵉʳ...
(Voir aussi Annexe II : Napoléon, ses parents et sa fratrie)
(Voir aussi Annexe II : Napoléon, ses parents et sa fratrie)
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